L’existence de chaque animal sur terre a un but bien précis. La présence d’un insecte, d’un amphibien ou celui d’un mammifère, est tout autant nécessaire pour apporter de l’équilibre à la nature. Pour les abeilles, elles ont un rôle très important dans la vie des êtres humains. Son rôle de pollinisateur auprès des plantes est quelque chose d’indispensable pour la survie de la race humaine. Bien que la vie elle-même ait offert au monde différentes races d’abeilles, la perfection est encore une problématique que beaucoup d’apiculteurs souhaitent atteindre. En constatant les défauts de chaque race, des expérimentations de transmutation et de combinaison de certaines races ont été conduites depuis quelques décennies maintenant. Dans cette optique précise, le terme Buckfast revient souvent aux oreilles. Toutefois, peu de personnes dans ce domaine connaissent la véritable puissance de cette race hybride d’abeilles.
Les caractéristiques des abeilles Buckfast qui sont tant appréciées par les apiculteurs
Que vous soyez un apiculteur débutant ou professionnel, vous avez sans doute entendu parler des abeilles de Frère Adam depuis votre entrée dans ce domaine spécifique d’élevage d’apis. L’objectif pour vous étant de trouver l’élevage des abeilles qui serait le bétail idéal pour la production de miel, mais aussi un bétail qui saurait résister aux pesticides, virus et parasites qui attaqueraient celui-ci. Jusqu’à présent, la seule race qui est assez résistante à ces différentes menaces est l’abeille Buckfast. Pour les apiculteurs d’aujourd’hui, ils n’ont pas connaissance d’autres types qui pourraient mieux répondre à leurs exigences que ce dernier. En effet, celui-ci possède les qualités regroupées des abeilles mellifères. Avec une reine dotée d’une prolificité élevée, la production d’ouvriers et de faux-bourdons se fait en une quantité plus élevée que la moyenne. Sa réputation, avérée en tant que butineuse, est une information véridique. C’est une abeille très travailleuse qui obtient un rendement de production assez conséquent. La longueur de sa langue, assez hors du commun, lui permet de butiner une beaucoup plus de fleur pour la récolte de nectar. Il est facile d’en trouver maintenant. Sur mesabeilles.fr, par exemple, il en propose.
L’origine des abeilles Buckfast sur l’abscisse du temps
Pour les personnes qui s’intéressent de près ou de loin au monde de l’apiculture, cette race de la nouvelle génération d’abeille ne peut que piquer la curiosité. L’histoire trouve son apparition dans les années soixante-dix. Si les scientifiques de l’apidologie font un remue-méninge pour trouver la solution de l’abeille idéal, la transmutation a déjà été fait par un moine cinquante ans de cela. Le moine Karl Khelie, en premier lieu, avait parcouru des continents pour trouver des races d’abeille aussi rare telles que les abeilles noires d’origine marocaine ou celles industrieuses turque. Son périple assez tumultueux lui avait permis de récolter plus de mille cinq cents différents lignages d’abeille. Le croisement de ces différentes races qu’il avait recueilli lors de son voyage à travers le globe de trouver la solution dans le mélange entre les abeilles d’Italie et les abeilles noires marocaines. Cette nouvelle dynastie, aussi appelée abeille de Frère Adam, est donc supposé être la dynastie d’abeille qui aurait moins de défauts parmi celles existantes. C’est ainsi donc que les abeilles mellifères seraient la solution pour avoir une pollinisatrice robuste mais tout autant délicate.
Un aperçu sur la morphologie des abeilles Frère Adam
La délicatesse de ce type d’abeilles et leur sens de propreté sont des facteurs pour lesquels un bon nombre d’apiculteurs les choisissent pour leur métier. Bien qu’elles regroupent les qualités de plusieurs abeilles, leur apparence n’est si unique que vous le pensez. Effectivement, vous pouvez retrouver typiquement sur une abeille Buckfast les bandes jaune et noir qui caractérisent une abeille standard. La reine de la ruche est aussi rayée. Sa distinction par rapport à sa colonie n’est pas seulement au niveau de sa taille, mais aussi par rapport à la nuance de sa couleur jaune. Son jaune va un peu plus vers le brun. Pour les ouvriers de cette race, elle a un teint assez poivre et sel. Le nombre de ses bandes va d’une bande à un maximum de trois bandes. C’est elle qui s’occupe de la propreté incomparable de la ruche d’où la réputation assez hygiénique de ce type d’apis. Pour les faux-bourdons, elles sont plutôt de couleur assez sombre avec des bandes plus tirées du bronzé que les autres abeilles.